Ni l'un, ni l'autre, ni quelconque |
TEKST |
donderdag 15 oktober 2009 om 11:04 uur. | Terug naar Gedichten
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Pour Annmarie Sauer L’enfant, devenu transparent, jeté Une métaphore claire, tout autour L’encre dans le biberon chuchote
Ni l’un, ni l’autre, ni quel-con(que)
A l’ouverture de la première lumière,
nous écoutons notre pluriel majestueux
pontifical assis sur le siège d’un poète.
avant le mur d’hiver, s’élève.
du nouveau né, crève.
l’écume sur sa lèvre lèche les paroles.
En fait de vers, possession vaut titre
en fait de vers, nous sommes,
nous sommes nous, nous y sommes nous,
seulement seuls et solitaires.