III Venu un jour |
TEKST |
maandag 3 oktober 2011 om 16:08 uur. | Terug naar Gedichten
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Cantique profane III. Venu un jour Assoupi par l’infinité des infinitifs d’un vieux pays Autant soufflé la solitude furtive. Autant au sein des vignes immenses, plongé dans l’inattendu. Autant l’orgueil des platanes qui chantaient ‘Ombra mai fu’.
pour un jour
où un jour
est un jour
toute la journée.
où tout allait de surprise en surprise.
Autant songé aux sons des vents clapotants.
Venu pour l’ombre
où l’ombre
est l’ombre
ombragée par
une ombre précise.
Autant ému qu’il y a tant d’années, le temps perdu.
Autant, autant et venu pour y écrire un billet doux.